samedi 16 février 2013

ASPARTAME


ASPARTAME

ASPARTAME
Suspect… Depuis toujours !
Présent dans d’innombrables produits « light », l’aspartame présente t’il un risque pour la santé ? Au vrai, la question se pose depuis 30 ans.
L’Aspartame, c’est quoi ?
Repérable sur les étiquettes européens sous le nom de code E951, l’aspartame est obtenu par la combinaison de deux acides aminés. Elle a un apport génétique de deux calories par gramme, soit deux fois moins que le traditionnel saccharose. C’est la deuxième molécule la plus utilisée sur le marché des édulcorants (substituant) intenses. C’est par accident qu’à été découvert l’aspartame en 1965. Le laboratoire pharmaceutique américainSearle cherchait en faite à élaborer… un nouveau traitement contre l’ulcère. Le chimiste James Schlatter, aurait gouté par erreur une molécule synthétisé, et a découvert avec surprise son gout sucrée.
Á cause de son pouvoir sucrée 200 fois plus important, il est utilisé comme édulcorant pour les obèses et les diabètes. Il se trouve aussi dans d’innombrables sodas « light » et chewing-gum « sans-sucres ».
Est-ce un additif dangereux ou mortel ?
Trente ans après son autorisation dans le marché, on ne sait toujours pas si l’aspartame est nocif pour la santé ! D’un côté les industries disent que cela n’a jamais été le cas dans l’utilisation de l’aspartame et qu’au contraire cela aide les surpoids et les diabètes en remplaçant le sucre dans plus de 6000 produits light. De l’autre côté, les chercheurs assurent avoir éclairé d’inquiétants risques liés à la consommation de ce faux sucre, tels quecancers, accouchements prématurés, problèmes neurologiques (épilepsies, maux de tête, tumeurs cérébrales …etc.) et même … prise de poids. Donc les agences de sécurité française et européennes ont enfin décidé de lancer une réévaluation complète de cette molécule.
Nombreuses recherches scientifiques ont été mises en places depuis 1970 notamment sur des rongeurs et d’autres animaux. Mais les scientifiques n’obtiennent aucune preuve valable pour mettre fin à la vente de ces produits « light ».
On a aussi des soupçons de fraudes. Les doutes sont apparues lors de la procédure d’autorisation de mise en vente sur le marché même, car : Trois études se sont déroulés et parmi elles deux sont suspectées de fraudes. De plus ces études n’ont jamais été publiées. Et pour finir comme pour toute évaluation scientifique d’un produit commercialisé, une grande partie du travail à été menée et financée par les producteurs eux mêmes.
Dans cette cacophonie d’études insuffisamment convaincantes, les agences peinent à produire un discours cohérent. Mais en 2010, une députée européenne a proposée un amendement prévoyant d’imposer aux producteurs d’écrire la mention « pourrait ne pas convenir aux femmes enceintes ».
Mais malheureusement ce mystère n’a toujours pas été résolu et plus de 2 millions d’individus consomment quotidiennement cet additif alors qu’il peut-être mortelle….
D’après Science et Vie, le numéro 1126 du Juillet 2011.
 MOHAMED WASIM RAJA
3eme1

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