ASPARTAME
ASPARTAME
Suspect… Depuis toujours !
Présent dans d’innombrables produits « light »,
l’aspartame présente t’il un risque pour la santé ? Au vrai, la question
se pose depuis 30 ans.
L’Aspartame, c’est quoi ?
Repérable sur les étiquettes européens sous
le nom de code E951, l’aspartame
est obtenu par la combinaison de deux acides aminés. Elle a un apport génétique
de deux calories par gramme, soit deux fois moins que le traditionnel
saccharose. C’est la deuxième molécule la plus utilisée sur le marché des
édulcorants (substituant) intenses. C’est par accident qu’à été découvert
l’aspartame en 1965. Le laboratoire pharmaceutique américainSearle cherchait en faite à élaborer…
un nouveau traitement contre l’ulcère. Le chimiste James Schlatter, aurait gouté par erreur une
molécule synthétisé, et a découvert avec surprise son gout sucrée.
Á cause de son pouvoir sucrée 200
fois plus
important, il est utilisé comme édulcorant pour les obèses et les diabètes. Il
se trouve aussi dans d’innombrables sodas « light » et chewing-gum « sans-sucres ».
Est-ce un additif dangereux ou mortel ?
Trente ans après son autorisation dans le
marché, on ne sait toujours pas si l’aspartame est nocif pour la santé !
D’un côté les industries disent que cela n’a jamais été le cas dans
l’utilisation de l’aspartame et qu’au contraire cela aide les surpoids et les
diabètes en remplaçant le sucre dans plus de 6000 produits light. De l’autre
côté, les chercheurs assurent avoir éclairé d’inquiétants risques liés à la
consommation de ce faux sucre, tels quecancers,
accouchements prématurés, problèmes neurologiques (épilepsies, maux de tête,
tumeurs cérébrales …etc.) et même … prise de poids. Donc les
agences de sécurité française et européennes ont enfin décidé de lancer une
réévaluation complète de cette molécule.
Nombreuses recherches scientifiques ont été mises en
places depuis 1970 notamment sur des rongeurs et d’autres animaux. Mais les
scientifiques n’obtiennent aucune preuve valable pour mettre fin à la vente de
ces produits « light ».
On a aussi des soupçons de fraudes. Les doutes sont
apparues lors de la procédure d’autorisation de mise en vente sur le marché
même, car : Trois études se sont déroulés et parmi elles deux sont
suspectées de fraudes. De plus ces études n’ont jamais été publiées. Et pour
finir comme pour toute évaluation scientifique d’un produit commercialisé, une
grande partie du travail à été menée et financée par les producteurs eux mêmes.
Dans cette cacophonie d’études insuffisamment
convaincantes, les agences peinent à produire un discours cohérent. Mais en
2010, une députée européenne a proposée un amendement prévoyant d’imposer aux
producteurs d’écrire la mention « pourrait ne pas convenir aux femmes
enceintes ».
Mais malheureusement ce mystère n’a toujours
pas été résolu et plus de 2 millions d’individus consomment quotidiennement cet
additif alors qu’il peut-être mortelle….
D’après Science et Vie, le numéro 1126 du Juillet 2011.
MOHAMED WASIM RAJA
3eme1
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